2024-12-10 | |
S’élevant entre la Terre et l'Espace, les montres OMEGA ont une longue histoire dans les airs. De nombreux pilotes ont pu compter sur la marque pour assurer leurs vols avec précision et ponctualité. Cette année, pour perpétuer cet héritage, OMEGA présente la nouvelle Speedmaster Pilot.
Ce modèle de 40,85 mm s'inspire de la toute première Speedmaster qui a été lancée en 1957. Réputé pour son design robuste, fiable et facile à lire, ce modèle original est rapidement devenu le "choix des pilotes", notamment pour ceux de l'US Air Force de l’époque. Le boîtier symétrique de la nouvelle montre est réalisé en acier inoxydable et présente une finition mate limitant les reflets lumineux. La lunette est é quipée d ’un a nneau en aluminium mat et conserve l’héritage de la Speedmaster grâce à la gravure “Dot Over Ninety” et “Diagonal to Seventy” sur l'échelle tachymétrique.
Pour les porteurs, la singularité de cette montre réside dans son cadran noir mat grainé. Ici, les aiguilles des heures et des minutes ainsi que les index sont tous ornés de larges blocs de Super- LumiNova blanc (émission verte), offrant une visibilité optimale pendant les vols de nuit. L'aiguille centrale du chronographe noir mat se distingue également par sa pointe en forme d'avion vernie orange.
Les éléments les plus remarquables sont peut-être les deux sous-cadrans jumeaux : opalins en leur centre et biseautés sur leur pourtour. À 3 heures, OMEGA a intégré un compteur de 60 minutes et de 12 heures doté d'une aiguille triangulaire orange mate et de chiffres blancs décalqués. Ce sous-cadran est conçu pour rappeler l'indicateur de "taux de combustion" des cockpits d'avions.
De même, à 9 heures, la montre dévoile un affichage Petite Seconde, avec une esthétique cible/viseur inspirée des cockpits. Cet affichage intègre une aiguille jaune mat vernie et un horizon artificiel en bleu.
La précision exceptionnelle d’OMEGA est assurée grâce au calibre Co-Axial Master Chronometer 9900, certifié METAS, selon les normes les plus élevées de précision, de performance et de résistance magnétique. Le mouvement est logé derrière un fond de boîte métallique, frappé du médaillon traditionnel "Seahorse" de la Speedmaster et gravé de la mention d’étanchéité "100 m / 330 pieds".
La montre peut être portée avec un bracelet en acier inoxydable doté du système d'ajustement confort breveté OMEGA, ou alternativement sur le bracelet NATO gris supplémentaire inclus, accompagné d'une pochette de voyage. Ce bracelet est renforcé de manière innovante avec des fils KEVLAR® et une boucle en acier inoxydable brossé.
Les montres OMEGA ont toujours bénéficié d'une réputation très respectée auprès des pilotes. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la marque a livré plus de 110 000 montres au ministère de la Défense britannique afin de soutenir ses pilotes de l’armée de l’air et de la marine pendant leur service. La plus célèbre et la plus utilisée d’entre elles était probablement la UK/CK2292. Fournie à la majorité du personnel de la RAF et de la Fleet Air Arm, cette montre était remarquable pour sa grande résistance magnétique idéal pour les pilotes aux commandes des puissants moteurs de leurs Hurricanes et Spitfires.
Lorsque l’OMEGA Speedmaster a été présenté en 1957, elle a été rapidement adoptée par certains pilotes de l’armée de l’air américaine, dont beaucoup deviendront plus tard astronautes Mercury dans le premier programme spatial habité de la NASA.
En 1969, l’OMEGA Flightmaster a été lancée spécifiquement pour répondre aux besoins des pilotes d’avion, leur permettant de vérifier l’heure en un instant, tout en offrant aux voyageurs un instrument complet pour leurs voyages. Son design radical était grand et audacieux, contrastant fortement avec les chronographes standard de l’époque. 1969 fut également l’année du premier vol du Concorde. Non seulement les instruments de mesure OMEGA étaient des composants standard pour plusieurs avions Concorde, mais de nombreux membres de l’équipage du Concorde avaient également choisi de porter des montres OMEGA pour avoir l’heure la plus précise à portée de main. L’un d’eux était le capitaine John Hackett, la première personne à piloter le Concorde au-dessus de l’océan Atlantique.